L’entrainement
Ton entrainement est un moyen de communiquer avec tes cellules.
Lorsque tu t’entraines, tu ne fais pas que soulever des poids ou courir, tu enchaines et multiplies les contractions musculaires. Chaque mouvement que tu réalises résulte de contractions successives de tes muscles, de l’allongement et/ou raccourcissement de certains tissus, de tout un ensemble de mécanismes qui se mettent en place dans ton organisme.
« Comment discuter avec nos cellules pour les guider dans leur développement ? Par la force ! La force est le langage de nos cellules. Le mouvement est ce que l’on dit. »
A l’échelle macroscopique, il y a donc le mouvement.
A l’échelle d’en dessous, il y a les contractions.
A l’échelle microscopique, on retrouve les cellules.
Les cellules est la plus petite unité du vivant que l’on connaisse. Tu es un ensemble de cellules. Ce sont elles qui décident de ton apparence, de ta force, de ton endurance et qui déterminent tes capacités.
La question est : comment discuter avec nos cellules pour les guider dans leur développement ?
La réponse : par la force ! La force est le langage de nos cellules. Le mouvement est ce que l’on dit.
Imposer une contrainte mécanique est ton unique moyen d’agir sur tes cellules. C’est donc grâce au mouvement que tu peux influencer le développement de ton organisme.
« Et pour que la communication soit bien établie, qu’il parvienne à te comprendre, tu dois être capable d’envoyer le bon signal ! Ce que l’on a appelé « exercice », le cerveau, le perçoit comme un signal »
Si tu cherches à modifier quelque chose chez toi, réfléchis à comment le bouger, c’est généralement un bon moyen de trouver une solution.

Le mouvement, la clé pour communiquer
Tu as mal quelque part ? Essaie de rétablir du mouvement dans cette zone spécifique.
Tu veux développer un muscle ? Essaie d’imposer des contraintes dans la zone spécifique.
Attention, ça ne marche pas avec le gras ..
Lorsque tu t’entraines, tu indiques à ton cerveau que tu attends des changements dans les structures sollicitées : plus de « muscles », plus « d’endurance », « plus de force », tu lui demandes d’évoluer.
Et pour que la communication soit bien établie, qu’il parvienne à te comprendre, tu dois être capable d’envoyer le bon signal ! Ce que l’on a appelé « exercice », le cerveau, le perçoit comme un signal.
Si le signal est bon et que l’intensité l’est également, alors il le comprendra et tu obtiendras ta réponse, le développement. Si ce n’est pas le cas, alors tu n’obtiendras rien du tout.
Nous verrons par la suite comment construire son entrainement et envoyer un bon signal afin d’obtenir des adaptations.
1 réflexion sur “Une histoire de communication”
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